A 19h30, après une après-midi pleine de photos, de marche, d’émerveillement, d’étonnement, de surprises, de rencontres, je retrouve Olga. Nous allons dans un « club » (bar/restaurant a la mode avec parfois des concerts, des lectures de poèmes, etc…) nomme l’aviateur chinois. C’est un endroit très chaleureux. Sur les différentes tables surplombées par de vieux abat-jour, certains travaillent sur leur ordinateur, d’autres discutent entre amis d’autres mangent… On se croirait dans les années 40 (si on omet les ordinateurs !) : papiers peints et nappes fleuris, lumières tamisées, fumée, femmes aux longues cigarettes…
J’en apprends un peu plus sur Olga ; elle est issue d’une famille d’écrivains et de poètes. Son mari, Youli, est lui-meme poète. Je le rencontrerai dans quelques jours, quand il reviendra de son voyage d’affaires. Olga vit dans le même immeuble que ses parents. (A Moscou, beaucoup vivent dans le même appartement que leurs parents. Par contre, d’après Olga, les appartements communautaires, partages par plusieurs familles, n’existent plus ou sont devenus extrêmement rares).
Axana, une amie d’Olga nous rejoint. Elle parle aussi français. Elle est styliste pour le magasine Madame Le Figaro en Russie, mais également sculpteur et poète.
J’en apprends un peu plus sur Olga ; elle est issue d’une famille d’écrivains et de poètes. Son mari, Youli, est lui-meme poète. Je le rencontrerai dans quelques jours, quand il reviendra de son voyage d’affaires. Olga vit dans le même immeuble que ses parents. (A Moscou, beaucoup vivent dans le même appartement que leurs parents. Par contre, d’après Olga, les appartements communautaires, partages par plusieurs familles, n’existent plus ou sont devenus extrêmement rares).
Axana, une amie d’Olga nous rejoint. Elle parle aussi français. Elle est styliste pour le magasine Madame Le Figaro en Russie, mais également sculpteur et poète.
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